“À Chypre, je pensais pouvoir étudier, travailler, mais en fait je reste chez moi toute la journée”
Charly, un Congolais de 24 ans, est arrivé à Chypre en novembre 2021, persuadé, comme le lui avaient dit les passeurs, qu’une nouvelle vie pleine de promesses l’attendait. Mais sept mois plus tard, le demandeur d’asile, pourtant autorisé à travailler, n’a été embauché nulle part. Comme des milliers d’autres migrants, il est réduit à l’oisiveté et à la pauvreté.