les observateurs de france 24

À gauche, un gendarme malmène un migrant avant son expulsion vers l'Algérie en 2020 ; au centre, des migrants attendent dans un van de la police d'être transférés dans le centre d'El Ouardia ; à droite, des migrants s'entassent à quinze dans une pièce et dorment à même le sol. Crédit : capture d'écran / vidéos de notre Observateur
Un groupe d'hommes et des véhicules policiers rassemblés en bas de l'immeuble de nos Observateurs, réfugiés subsahariens LGBT à Tunis, le 23 février. © Capture d'écran/ vidéo envoyée par notre Observateur.
À gauche, un graffiti appelant à la violence contre les Noirs. À droite, une famille de Subsahariens arrêtés et emmenés au commissariat en banlieue de Tunis. Crédit : Les Observateurs de France 24
Un groupe de migrants LGBT originaires de différents pays africains devant le bureau du HCR à Niamey, au Niger, le 22 août 2022. Crédit : DR
Captures d'écran de vidéos montrant les obsèques d'un migrant soudanais dans la ville de Oujda, dans le nord-est du Maroc, samedi 13 août. Crédit : Hassan Ammari
Capture d'écran d'une vidéo transmise à la rédaction des Observateurs de France 24, qui montre deux migrants prendre la fuite quand deux véhicules de police tentent de les arrêter. Crédit : DR
Le centre d’accueil pour migrants de Medininkai, en Lituanie, proche de la frontière avec la Biélorussie. Crédit : photo de notre Observateur, prise le 22 décembre 2021
Des images amateur largement relayées montrent un groupe de plusieurs centaines de migrants s'approcher du poste frontière, en présence de forces de l'ordre biélorusses. Crédit : Halgord Omar Presse sur Facebook / Molotokhelp sur Telegram
À gauche : capture d’écran floutée d’une vidéo dans laquelle on voit Isabelle Mpouma, une femme camerounaise, agoniser dans le désert. À droite : Isabelle Mpouna, identifiée par sa famille dans la vidéo. © Réseaux sociaux (gauche) / photo diffusée dans les médias camerounais (droite)
Cette photo montre Amadou, un migrant ivoirien vivant à Tunis qui dit avoir été agressé par des locaux après un désaccord avec son propriétaire. Crédit : DR
© Réseaux sociaux. | Le camp de Bhannine pour les réfugiés syriens, au lendemain de l'incendie criminel, réduit totalement en cendres.
Captures d'écran de vidéos montrant des incidents survenus dans les villes turques de Samsun et Kahramanmaras.