Cette photographie prise le 30 mars 2021 montre une vue aérienne du camp de réfugiés de Kara Tepe ou Mavrovouni à Mytilène, sur l'île de Lesbos. Crédit : AFP
Cette photographie prise le 30 mars 2021 montre une vue aérienne du camp de réfugiés de Kara Tepe ou Mavrovouni à Mytilène, sur l'île de Lesbos. Crédit : AFP

En Grèce, Lesbos est devenue un symbole des flux migratoires. Après l’arrivée de plus d’un million de demandeurs d’asile à destination de l’Europe en 2015 et 2016, cette île de la mer Égée, voisine de la Turquie, a abrité en particulier Moria, longtemps le plus grand camp du continent. Détruit par un incendie en septembre 2020, Moria a depuis été remplacé par une structure "temporaire" plus fermée et plus surveillée, où cohabitent aujourd’hui quelque 2 200 personnes.

GRAND REPORTAGE


Comme c’est déjà notamment le cas sur l’ile de Samos, les autorités grecques affirment à présent vouloir construire à Lesbos, d’ici la fin de l’année 2022, un nouveau camp aux allures de centre de détention. 

"En Grèce, criminalisation progressive des migrants et délit de solidarité", un Grand Reportage à Lesbos et Athènes, de Joël Bronner.

 

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