En Belgique aussi, les sans-papiers se tournent vers l'activité de coursier, un métier pénible et précaire
En Belgique comme en France, les coursiers des plateformes comme Deliveroo ou Uber Eats sont souvent des sans-papiers ou des demandeurs d'asile. Le travail est précaire, mal rémunéré, physique. À l'heure où la profession revendique de meilleures conditions de travail, les coursiers se demandent comment se faire entendre sans pénaliser les travailleurs en situation irrégulière ?